Depuis les dernières vagues qui ont secoué la coalition FCC-CACH au pouvoir, il s'observe un regain de sentiments de solidarité qui se dessinent parmi des « suspects de toutes tendances », prétendument en désaccord idéologique avec le président Félix Tshisekedi, ouvertement ou non.
Afin de tirer la sonnette d'alarme, c'est le haut représentant du chef de l'État, Kitenge Yesu, qui crie à haute voix « au voleur ». Alors que le FCC tient au quotidien la gestion et le contrôle du pays, il est étonnant de constater que la plateforme politique chère à l'ex-président de la République se soit inscrite dans un jeu de « gérer pour échouer ». Entre le dire et le faire, dénonce M. Kitenge, il y a un écart criant chez les alliés au pouvoir. En un mot, la logique s'explique comme ceci : majoritaire au Parlement et au gouvernement, juge et partie, le FCC organise et parraine l'échec.
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