Ces derniers jours, le cours de la monnaie nationale a flirté avec la très symbolique barre des 1 euro pour 4 500 ariary. Pourtant, si cette situation crée l'inquiétude chez la population, la Banque centrale, elle, se veut rassurante rappelant que 65% des transactions internationales de la Grande Île se font en dollars.
À Madagascar, la conjoncture mondiale actuelle est la première raison de la dépréciation de l'ariary. Depuis le début de la crise sanitaire, les quatre secteurs d'activité grands pourvoyeurs de devises - l'industrie minière, textile, le tourisme et la pêche - ne font plus ou que très peu entrer des devises, explique le chercheur en économie Rado Ratobisaona.
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