Jadis bande dessinée, le magazine semestrielle Mama yaKongôo fait peau neuve dans son format revue. C'est donc un instrument de monitoring et de plaidoyer pour suivre et évaluer la mise en œuvre du programme du président de la République sur le Genre, principalement le 14ème pilier du gouvernement sur l'autonomisation de la femme et de la promotion de la jeunesse.
Avec l'appui financier de Diakonia et ASDI, l'ONG Femmes des médias pour la justice au Congo (FMJC) a organisé, jeudi 30 juillet dans la salle polyvalente Marie-Ange Lukianadu Secrétariat général du ministère du Genre, Famille et Enfant, à Gombe, un atelier de publication de la nouvelle version du magazine « Mama yaKongôo ». Et ce,en prélue de la célébration de la journée de la femme africaine commémorée chaque le 31 juillet de l'année.
Ce magazine constitue l'instrument de monitoring et de plaidoyer que met en place FMJC pour suivre et évaluer la mise en œuvre du programme du président de la République sur le Genre, principalement le 14ème pilier du gouvernement sur l'autonomisation de la femme et de la promotion de la jeunesse.
A en croire Kenneth EnimAmpi, coordonnatrice nationale de FMJC, Mama yaKongôofait peau neuve. En 2016, FMJC avait amendé et approuvé la bande dessinée « Mama yaKongôo » qui se voulait un outil de sensibilisation et de plaidoyer auprès des responsables des partis politiques en vue de la promotion de la représentativité féminine.
Contenu du magazine
La ministre d'Etat, ministre du Genre, Famille et Enfant, pour la bouche de son émissaire, s'est, pour sa part, réjouie de l'initiative de FMJC dans la promotion de la femme en vue de contribuer aux efforts déjà déployés par les autres acteurs pour une participation pour tous au développement.
Faisant l'économie du magazine, Mme Kenneth Enim a fait savoir que Mama yaKongôo est une revue semestrielle de 60 pages structurées autour de 12 rubriques, entre autres, «, Actu-projets, Femmes émergentes, Parole aux bailleurs, Femmes influentes, Interview 60 ans,Dossier parité, Féminomètre, perspectives, etc. ».
La couverture de cette publication fait honneur à Mme Astrid AtulaNdeyi, une maraîchère du Pool Malebo, en prélude la journée de la femme africaine.