Le quatrième à s'asseoir dans son fauteuil a bien voulu partir au terme de deux mandats. Il l'a annoncé à la nation tout entière. Mais voici que des événements totalement imprévus font que pour la première fois en Afrique, un président qui a décidé de quitter le pouvoir risque d'être contraint d'y rester. Une partie de son peuple le supplie de rester encore, pendant qu'une autre s'y oppose.
Personne ne sait comment la situation évoluera, d'autant plus que l'intéressé lui-même ne s'est pas encore prononcé et que tout dépendra de ce qu'il décidera. A l'analyse de tout cela, ma conviction est qu'Houphouët-Boigny est fâché contre nous. Je m'explique, tout en sachant que tout cela relève de l'irrationnel, mais je l'assume.
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