Une plainte vise des militaires pour le massacre de la population fin mars 2017 dans la commune de Nganza dans le Kasaï central. Elle a été déposée lundi 3 août au parquet militaire du Kasaï central par un collectif d'avocats affirmant représenter 600 victimes des exactions présumées de l'armée.
Au total, onze accusés. Parmi ces derniers, il n'y a qu'un seul civil : l'ancien vice-Premier ministre de l'Intérieur et candidat malheureux à la dernière présidentielle, Emmanuel Ramazani Shadary. Pour lui, c'est un montage. Avec l'ancien ministre, les généraux Asumani et Mputela sont cités ainsi que le colonel Jean de Dieu Mambweni.
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