Difficile de se faire à la mort. Même si l'on sait qu'elle est là, se présentant à nous comme un point terminal. Celui où, le rideau tiré, on quitte à jamais la scène de la vie. Une inéluctabilité donc. Et pourtant !
Par sa soudaineté, sa brutalité, son inattendu, la mort nous plonge souvent dans le vide vertigineux de l'arrachement. Babacar était là. Et puis tout d'un coup, plus d'échanges, plus de rires volcaniques, plus de blagues, plus de présence affectueuse et rassurante.
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