RABAT, Maroc - Lors de l'arrivée de la pandémie au Maroc en mars, la peur s'est emparée du pays. « Au début de la pandémie, nous étions très inquiets pour notre santé », raconte à l'UNFPA Halima*, migrante originaire de Madagascar.
L'état d'urgence a été déclaré, et des restrictions strictes sur les déplacements ont été mises en place. Trois mois après l'instauration de ces mesures, le pays affichait l'un des taux de létalité les plus faibles pour la COVID-19.
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