Le Sénégal est décidément un pays de paradoxes. Hier dimanche, il a été célébré la journée de l'arbre. Le parrain en était le baobab. A croire que l'on s'est durablement installé dans les effets d'annonce, dans l'esbroufe.
Sinon, comment expliquer un tel choix, au moment où ce qui se déploie sous nos yeux est le massacre programmé de cet arbre millénaire.
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