Au Burkina Faso, les mesures de confinement prises pour éviter la propagation de la COVID-19 ont contribué à réduire la fréquentation des centres de santé et l'accès aux soins de santé sexuelle et reproductive. Ce qui fait craindre une augmentation des grossesses non désirées et par ricochet, des avortements clandestins.
Flora n'a plus la tête aux études. Etudiante en 1re année de Lettres modernes à l'université Norbert-Zongo, elle n'en a cure des derniers devoirs pour valider l'année académique. « Je veux juste qu'on prie pour moi. Seule la prière peut me sauver », proclame la catholique « convaincue ».
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