Le samedi 22 août dernier, une délégation de la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest), conduite par l'ancien président nigérian, Goodluck Jonathan, est arrivée à Bamako. L'objectif de ce déplacement est de prendre langue avec les putschistes et de rencontrer le président déchu, Ibrahim Boubacar Kéïta.
Pour l'homme au chapeau noir, c'est-à-dire Goodluck Jonathan, c'est la quatrième fois qu'il se rend sur les bords du fleuve Djoliba depuis le début de la crise socio-politique à laquelle le Mali est en proie. L'élément déclencheur, on se rappelle, avait été les législatives contestées de mars-avril. La suite, on la connaît.
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