Dans certaines villes du Burkina Faso, des malades mentales portent souvent des enfants au dos ou errent avec des grossesses contractées dans les rues. Ces grossesses, fruits de viols, sont cependant, l'œuvre d'hommes jouissant de toutes leurs facultés mentales.
Elise Zoungrana, 30 ans, vient de donner naissance à son deuxième enfant. La voix peu audible, le regard perdu dans le vide, elle souffre de schizophrénie. Elle vit au secteur 4 de Ouahigouya, aux soins de sa grand-mère, une octogénaire.
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