Ce n'est pas trop tôt, pourrait-on dire au sujet de la sortie de la junte militaire qui, pour la première fois, a clairement affirmé, le 16 septembre dernier, au cours d'une conférence de presse, sa volonté de diriger la transition politique après le coup d'Etat qui a mis fin au pouvoir de Ibrahim Boubacar Kéita.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est un secret de Polichinelle car, plus d'un, au Mali, savait que les tombeurs d'IKB n'étaient pas mus par une volonté de balayer la maison et s'en aller.
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