Alger — Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, a affirmé, jeudi à Alger, que les médecins gynécologues préféraient exercer dans le secteur privé, d'où le manque enregistré dans la plupart des établissements sanitaires publics.
"Le manque de médecins spécialistes en gynécologie obstétrique constitue un problème dont souffre la plupart des établissements publics de santé au niveau national, car la majorité d'entre eux préfèrent exercer dans le secteur privé", a précisé le ministre lors d'une plénière à l'Assemblée populaire nationale (APN), présidée par Slimane Chenine, président de l'APN et consacrée aux questions orales.
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