Aune dizaine de kilomètres de Casablanca, les immeubles poussent plus vite que les champignons.
La frénésie immobilière a totalement défiguré les collines qui furent, pendant longtemps, un havre de paix pour la biodiversité de la région. Pilonnées sans relâche, les entrailles de cette terre ont fini par recracher les animaux qui y coulaient des jours heureux. Désormais chassée de son habitat naturel, la faune du coin trouve refuge dans les rares propriétés qui disposent encore d'un jardin.
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