Parmi les nombreux enseignements à tirer de 2020, le premier est peut-être que les événements rarissimes qualifiés de « cygnes noirs » ne sont pas une préoccupation lointaine. Ces phénomènes qui se produisent soi-disant une fois par génération surviennent de plus en plus fréquemment.
Prenons l'exemple des chocs climatiques, surtout en Afrique subsaharienne. Plus que toute autre région, celle-ci est exposée à ces phénomènes en raison de sa forte dépendance à l'égard de l'agriculture pluviale et de sa faible capacité d'adaptation aux chocs. Chaque année, les moyens de subsistance de millions de personnes sont menacés par des catastrophes climatiques.
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