Onze ans après le massacre du 28-septembre, les victimes n'ont toujours pas obtenu justice malgré les promesses réitérées du gouvernement. Les États-Unis, la France et l'Union européenne « exhortent le gouvernement guinéen à tenir un procès dans les plus brefs délais ». L'instruction est clôturée depuis fin 2017 et 13 accusés doivent être jugés par le tribunal de première instance de Dixinn statuant en matière criminelle. Mais faute d'avancée significative, les partenaires de la Guinée réfléchissent à d'autres voies de recours.
En janvier dernier, le ministre de la Justice promettait l'ouverture d'un procès pour juin 2020. Trois mois plus tard, toujours rien.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article