Pas un seul mot, pas la moindre pensée dans les dernières mesures d'assouplissement pour les artistes du Congo Brazzaville. Faut-il dans l'indifférence laisser mourir le spectacle vivant ?
Si la population congolaise se réjouit à juste titre d'un couvre-feu n'ayant désormais plus cours dans le pays et, à un degré moindre, d'un couvre-feu aujourd'hui assoupli et ramené de 23 heures à 5 heures du matin à Brazzaville et Pointe-Noire, le monde du spectacle vivant reste le grand oublié des mesures gouvernementales.
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