Le couvre-feu est instauré dans plusieurs grands gouvernorats comme Tunis, Sousse ou Monastir. Les prières et marchés hebdomadaires y sont désormais interdits et les festivités et rassemblements annulés. Alors qu'au début de l'été, on vantait le modèle tunisien pour sa gestion de la pandémie, le ton a changé.
Le pays comptait 50 morts début août et affiche désormais 409 décès. En mars, le confinement général et la fermeture des frontières avaient permis de circonscrire la propagation du virus.
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