Dans un communiqué publié le 12 octobre, des experts des droits de l'homme des Nations unies demandaient au Cameroun de libérer l'opposant Maurice Kamto, le leader du MRC, dont la résidence est encerclée par la police et la gendarmerie, ainsi que les personnes arrêtées lors des manifestations du 22 septembre.
Dans une déclaration lue par le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, René Emmanuel Sadi, les autorités camerounaises estiment que la marche du 22 septembre n'était pas « pacifique ».
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