Sur les hauts plateaux de Minembwe, on trouve des milliers de déplacés, réfugiés près des bases de la Mission des Nations unies au Congo et sans assistance internationale. Ils sont près de 3000 à Mikenge, pour l'essentiel des banyamulenge et ils disent avoir subi de nombreuses attaques.
À Mikenge, les déplacés disent avoir été attaqués une vingtaine de fois et connaître leurs assaillants. Philemon Chiza, l'un de leurs représentants, raconte la dernière attaque en juillet. « Je vais vous montrer par où ils sont venus. Les Maï-Maï sont venus de là, de cette montagne, par ce chemin. Ils sont entrés dans le camp, ont tiré. La Monusco a essayé de défendre. Des militaires ont été blessés. »
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