En Côte d'Ivoire, en pleine campagne électorale, les partisans de Laurent Gbagbo, qui demandent l'arrêt du processus, accusent le régime d'utiliser des miliciens, les « microbes » pour attaquer les opposants en faisant le lit des violences communautaires. En face, les membres du parti au pouvoir réfutent ces accusations et évoquent des causes plus profondes en parlant des affrontements qui surviennent pendant cette campagne présidentielle.
Après le passage à Abidjan d'une mission ministérielle de la Cédéao, le FPI-GOR (Gbagbo ou rien) qualifie de « honte » les conclusions de la délégation désavouant l'opposition. Le FPI pro-Gbagbo demande l'arrêt du processus électoral, le report de l'élection, et l'ouverture d'un dialogue.
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