La crise entre le gouvernement et les confessions religieuses a connu son épilogue. Tout est dit et écrit. Même si certains restent avec le gout parfois amer de la lie.
Tel est pris qui croyait prendre. Le gouvernement vient de reculer. Entre autoritarisme et autorité, le choix est fait. Les communautés religieuses ne recevront pas des injonctions dans le déroulé du cérémonial lié à leur liturgie.
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