Après un référendum mouvementé en 2015 et une présidentielle marquée par la contestation et des violences en 2016, les acteurs politiques congolais ont décidé d'accorder leurs violons avant le scrutin présidentiel de 2021. Des concertations se tiennent donc jusqu'au vendredi 27 novembre à Madingou, dans le sud du pays.
Les partis politiques ont été invités à cette concertation en tenant compte de leur poids électoral. C'est ainsi que le Parti congolais du travail (PCT), principale formation de la majorité, se taille la part du lion avec quinze représentants.
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