La liberté provisoire refusée à deux avocats à l'origine d'échauffourées mardi entre forces de maintien de l'ordre et des hommes en robe noire.
« Deux jeunes avocats ont été placés sous mandat de détention provisoire à la prison centrale de Douala (New Bell), lundi 9 novembre 2020, pour outrage à magistrat, tentative de corruption et escroquerie », a indiqué à CT un avocat ayant requis l'anonymat. Ces derniers passaient en jugement le mardi 10 novembre, au Tribunal de première instance (Tpi) de Douala Bonanjo. A cet effet, les avocats se sont mobilisés en grand nombre (près de 500, d'après des estimations de notre source) pour solliciter la mise en liberté provisoire de leurs deux jeunes confrères issus des dernières promotions.
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