Sous la pression de la Communauté internationale, notamment la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest), les militaires putschistes maliens ont dû concéder aux civils, le poste de président de la Transition et celui de Premier ministre.
En contrepartie, peut-on dire, ils se sont adjugé le poste de vice-président de la Transition. Et c'est le chef de la junte, le colonel Assimi Goïta, qui y a été nommé. En plus de ce dernier, d'autres militaires putschistes sont à la tête de bien des portefeuilles ministériels juteux et stratégiques au sein du gouvernement de la Transition.
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