Cette sollicitation est formulée dans son rapport publié le 30 novembre sur l'évaluation des risques de corruption dans le processus de réduction des émissions liés à la déforestation et à la dégradation des forêts (REDD+) en République du Congo. C'était au cours d'une conférence de presse animée par le coordonnateur national de la Rencontre pour la paix et les droits de l'homme, Christian Monzéo, à son siège à l'OCH Pointe-Noire.
En effet, quatre conférenciers ont tour à tour présenté les résultats de l'étude qui a portée sur l'évaluation des risques de corruption du mécanisme REDD+ aux communautés locales et populations autochtones (CLPA). L'objectif étant d'accompagner la République du Congo dans la réussite de ce processus. Cette étude qui était lancée en 2008 est l'un des résultats du projet " Intégrité dans les initiatives comme REDD+ ", projet financé par l'Agence française de développement et qui s'inscrit dans l'objectif d'améliorer les défis en matière d'intégrité dans le REDD+ et plus généralement dans l'amélioration de la gouvernance forestière et du développement durable.
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