Le nœud du blocage du processus électoral de la FIF est bien la question du parrainage. La commission électorale dirigée dans un premier temps par René Diby a refusé de trancher sur la question évoquant une affaire de cohésion sociale au mépris des textes de la FIF, la CAF et la FIFA.
C'est fort de cette violation grave des statuts de la FIF que le comité d'urgence de la FIF avait en son temps suspendu les travaux de la commission électorale de la Fédération . Mais sous injonction de la FIFA, le processus suspendu a repris ses travaux afin d'entériner toute décision nécessaire par un vote. Pour éviter d'éventuels problèmes, la FIFA a recommandé de faire signer "le procès-verbal par tous les membres de la Commission électorale ayant pris part à la réunion concernant la décision en question". Une recommandation qui n'a pas rencontré l'adhésion de René Diby à la reprise des travaux, qui a claqué la porte.
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