Ils sont un millier à avoir quitté le Sud pour fuir la famine et les dahalo. Ils ont vendu ce qui pouvait l'être pour avoir les moyens de partir vers l'inconnu.
Ils arrivent par flots dans les stations de taxi-brousse de la capitale. Hommes, femmes et enfants en guenilles, les yeux hagards exorbités par plusieurs semaines de diète, la peau collée aux os, ils espèrent tous une éclaircie providentielle à défaut d'El dora d'or. Eh oui, même la providence semble les avoir oubliés dans cette misère inénarrable.
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