Après plusieurs nuits de manifestations et des violences, Hichem Mechichi a pris la parole. Sans stopper le désarroi.
Une colère décrite comme "légitime", "entendue", mais pas de propositions et des violences qui se poursuivent. Voilà comment résumer la situation en Tunisie, au lendemain de la prise de parole à la télévision du Premier ministre Hichem Mechichi, mardi soir. Une prise de parole après pas loin d'une semaine de manifestations et de violences nocturnes. Des actes de jeunes en colère contre leurs conditions de vie. Les manifestations ont lieu dans plusieurs villes du pays depuis jeudi dernier, le 14 janvier, anniversaire du départ de Ben Ali en 2001.
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