Casablanca — C'est une lapalissade de dire que l'activité culturelle a été rudement frappée par la crise du nouveau coronavirus, puisque c'est le lot de la quasi-totalité des secteurs, que ce soit au Maroc ou ailleurs. Mais, le point intéressant est que certains segments ont dû se creuser les méninges, redoubler d'imagination et improviser pour juguler les effets dévastateurs de la calamité.
L'expérience de certaines galeries d'art de la ville de Casablanca, qui comptent parmi les plus dynamiques du pays, est, peut-être, un cas d'école de la volonté de survie, de continuer d'exister et tout simplement de ne pas accepter une mort certaine sans livrer bataille. Certains propriétaires et gérants de ces établissements ont été touchés par la créativité et l'ingéniosité des artistes qu'ils ont pris l'habitude de côtoyer tout au long de l'année.
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