C'est le maître mot de la célébration de la Journée internationale dédiée à ce phénomène samedi dernier à Yaoundé.
La pratique existe. La dernière enquête de 2011 montre d'ailleurs une prévalence nationale des mutilations génitales féminines (Mgf) de 1,4% et de 20% dans les zones foyers que sont l'Extrême-Nord et le Sud-Ouest. Et pour la 14e édition de la Journée internationale tolérance zéro à ce phénomène, le ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille (Minproff), Marie Thérèse Abena Ondoua est montée au créneau pour appeler les communautés à un changement de mentalités.
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