Une véritable fessée en public. Voilà ce que la Banque mondiale vient d'asséner au ministre de l'Économie , des finances et du budget à travers une lettre dont la confidentialité a été littéralement violée par les réseaux sociaux. Un mal pour un bien puisque, vingt ans auparavant on n'a jamais su qu'est-ce qui se tramait derrière les rideaux entre l'État et les bailleurs de fonds. Et depuis quarante ans de coopération avec eux, c'est toujours le peuple qui boit la tasse.
Le ton de la lettre est péremptoire , autoritaire et omnipotent. Celui d'une puissance coloniale à un pays soumis, pauvre et sans les moyens de ses ambitions.
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