L'avocate du leader de Pastef devant la commission ad hoc mise en place par l'Assemblée nationale dans le cadre de la procédure de la levée de son immunité parlementaire a défendu la thèse d'un complot derrière les accusations de « viols répétés » et « menaces de mort » portée par l'employée de l'Institut Sweet Beauté, Adji Sarr, contre Ousmane Sonko. Invitée hier, dimanche 21 février de l'émission Grand jury de la Rfm, Aïda Mbodj a dans ce sens révélé l'existence d'un message « sms » envoyé, par erreur, à une personne qui n'était pas le destinataire et qui conforterait cette thèse de complot ourdie par le régime en place pour nuire à Ousmane Sonko.
La thèse du complot continue de polluer l'affaire d'accusation de « viols répétés » et « menaces de mort » portée par l'employée de l'Institut Sweet Beauty Spa, Adji Sarr contre l'honorable député, Ousmane Sonko, leader du parti Pastef/Les patriotes. Invité hier, dimanche 21 février à l'émission Grand Jury de la Radio Futurs Médias, c'est Aïda Mbodj, présidente du mouvement «And Saxal Ligey » par ailleurs députée et avocate du leader de Pastef devant la commission ad hoc mise en place dans le cadre de la procédure de la levée de son immunité parlementaire qui est montée au créneau pour dénoncer l'existence d'un plan de liquidation de l'ancien candidat arrivé 3ème à l'issue de l'élection présidentielle du 26 février 2019.
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