Le divorce entre le pouvoir centrafricain et les groupes armés réunis au sein de la Coalition des patriotes pour le changement (CPC), est définitivement consommé. C'est du moins, ce qu'on est tenté de dire au regard du limogeage, par décret présidentiel, le 21 février dernier, des ministres issus des rangs de cette coalition.
On se rappelle que ces ministres ainsi que d'autres personnalités avaient été nommés dans le gouvernement d'union nationale et dans les cabinets du président de la République et du Premier ministre, en mars 2019, au lendemain d'un accord signé entre 14 groupes rebelles et le gouvernement centrafricain dans le cadre de la paix et de la réconciliation.
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