Hier, face à la presse, le mouvement Rohy est monté au créneau en incriminant le régime et sa manière d'« instrumentaliser les forces de l'ordre ».
Madagascar, le 18 février dernier, alors qu'il participait à une manifestation estudiantine pour réclamer le versement des bourses d'études, suspendu depuis quatre mois, un étudiant de Tamatave décède des suites d'une blessure par balle. Deux jours après, le gouvernement publie un communiqué dans lequel il explique que la mort du jeune homme est imputable à « un tir de sommation ». La goutte d'eau de trop pour la société civile malgache qui s'est dite « atterrée » par de telles explications.
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