Le noyau dur de l'aire protégée de Betsiaka est l'objet d'un litige entre son gestionnaire et les orpailleurs. Un consensus a été trouvé, mais tout dépendra du pouvoir central.
Ces cinq derniers mois, l'aire protégée d'Andrafiamena-Andavakoera, dans la commune rurale de Betsiaka-Ambilobe, est devenue un champ de confrontation d'intérêts et un théâtre de désaccords entre les orpailleurs et le gestionnaire de la zone. Pour la petite histoire, depuis octobre, quelques communautés ont fait une demande pour exploiter le noyau dur d'Analamosary de façon durable. Or, le site qui s'étend sur 73 319 ha est déjà classé Aire protégée de Catégorie-V, gérée par l'association Fanamby suivant le décret 2015-761 du 28 avril 2015.
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