Plus de 4 000 membres sur plusieurs groupes pour partager, monnayer des photos et vidéos de femmes, voire d'enfants. Cela ne se passe pas uniquement ailleurs. L'affaire Telegram a pris une ampleur incroyable en une semaine. Sur ces groupes, on ne parle pas seulement de jeunes, mais d'hommes adultes et aussi de mineurs.
Nous avons fait une petite incursion sur l'un des groupes lundi 22 mars et avons constaté que la plupart des photos et vidéos partagées proviennent de proches des victimes. Comme le groupe était public (il a été désactivé mercredi soir), on n'a pas besoin de s'y joindre pour voir le contenu et les conversations.
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