Casablanca — A la veille du mois sacré de Ramadan, les Casablancais ne se bousculent pas, comme à l'accoutumée, devant les vendeurs d'habits traditionnels. Les commerçants de la Place Moulay Youssef au quartier des Habbous, où les visiteurs s'y rendent d'habitude pour acheter des djellabas, jabadors, des gandouras ou même des babouches traditionnels, semblent avoir du mal à écouler leurs marchandises.
Le tour de ce marché mythique de la capitale économique permet de se rendre à l'évidence qu'avec l'avènement du coronavirus dont le rythme de contagion est rapide et saccadé, une psychose s'est installée chez la plupart des gens et donne rarement place aux dépenses dites "non essentielles".
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article