Geneve — Les autorités marocaines ont continué de détenir les journalistes Omar Radi et Souleiman Raissouni à la prison d'Oukacha à Casablanca, ce qui les a conduits à déclarer une grève de la faim pour demander leur libération, a affirmé jeudi l'observatoire euro-méditerranéen des droits de l'Homme appelant à cesser de sévir contre la liberté de presse et la liberté d'expression dans le pays.
Exprimant sa grande inquiétude quant à l'état de santé des deux journalistes, l'observatoire euro-méditerranéen des droits de l'Homme a mis en garde dans un communiqué contre les répercussions liées à la grève de la faim entamée par les deux journalistes depuis le 8 avril dernier pour dénoncer leur maintient en détention provisoire.
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