En Libye, la Compagnie nationale du pétrole a décrété l'état de force majeure après l'interruption de la production et de l'exportation sur l'un des principaux terminaux pétroliers dans l'est du pays. Cette fois, ce n'est pas la conséquence de combats qui font rage, ou de grèves, mais l'absence de budget qui fait enrager les opérateurs des sites pétroliers.
Le budget national libyen tarde à être voté, il a été rejeté mardi par la Chambre des représentants, la même chambre qui a donné sa confiance au nouveau gouvernement d'union nationale le mois dernier. Il a désormais 10 jours pour revoir sa copie et proposer un nouveau budget.
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