La situation humanitaire à Mekelle est inquiétante. La capitale de la région du Tigré, dans le nord de l'Éthiopie, où le conflit dure depuis novembre, accueille de plus en plus de réfugiés. La ville compte désormais plus d'une vingtaine de camps installés notamment dans des écoles. Des organisations humanitaires construisent des abris mais en attendant, les autres sites sont saturés.
Une semaine après son ouverture, plus de 5000 déplacés s'entassent déjà dans l'école primaire Mayweli. Ils dorment à l'intérieur des salles de classe, sur des matelas ou sur des bancs, dans une hygiène déplorable. Hadoush vient de Humera, dans l'ouest du Tigré.
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