Osons la paraphrase du président de la République, qui disait il y a quelques années, à propos de la menace terroriste dans l'Extrême-Nord : « ce n'est pas le Boko Haram qui va dépasser le Cameroun ».
Aujourd'hui, à la veille d'une deuxième célébration consécutive de la fête nationale, sans festivités officielles et populaire, on peut dire avec force, en s'inspirant des bons mots du chef de l'Etat, que « ce n'est pas le Covid-19 qui va entamer l'unité » du peuple camerounais. Pour relever que même sans réjouissances et retrouvailles festives, la « Fête de l'Unité » reste ce qu'elle est, dans son essence. Un moment d'arrêt pour magnifier un choix fait librement par les filles et fils de ce pays, il y a 49 ans, et qui garde toute sa pertinence aujourd'hui.
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