Si la troisième vague épidémique de mars-avril est maintenant passée, elle a été vécue difficilement par les services hospitaliers, submergés par les cas de Covid-19. Et l'oxygène y est rare. Reportage dans un hôpital de la capitale.
Au pic de la crise, plusieurs établissements publics ont dû faire face à des pénuries d'oxygène. Alors, si le pays n'a recensé que 376 cas positifs ces dernières 24h, les hôpitaux kényans tentent depuis de renforcer leurs stocks du précieux gaz. Car, avec vingt cas de variant indiens recensés, les autorités sanitaires suivent avec attention la situation en Inde et s'inquiètent d'une quatrième hausse épidémique cet été.
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