À marche forcée ces dix derniers jours, une Cour finlandaise a entendu 18 témoins dans le cadre du procès du rebelle Gibril Massaquoi, un ex-membre du Front révolutionnaire uni, accusé d'avoir commis des crimes de guerre au Liberia voisin, lors d'une série d'audiences tenues dans sa Sierra Leone natale. La défense s'efforce de renforcer son alibi.
Assis dans une salle paisible au rez-de-chaussée du bâtiment secret réservé pour la Cour finlandaise, le panel de quatre juges, dont deux femmes, a présidé les débats de manière calme et sereine, sans l'agressivité entre avocats des parties qui est la marque du système contradictoire britannique adopté par de nombreux pays africains, dont la Sierra Leone.
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