Charmeur, à l'allure d'Idriss Elba, selon certains de ses fans, Sorel Boulingui malgré sa notoriété a su rester humble. Aujourd'hui très coté dans les arcanes du cinéma national et international, il invite les artistes à se former car c'est en enterrant l'amateurisme que le cinéma congolais aura une plus grande renommée dans le monde.
Sorel Boulingui arrive au théâtre sans aucune notion réelle de cette discipline, et se forme sur le tas comme la plupart de ces aînés dans le groupe. Il fait ses premières armes au théâtre en 1997 sous la direction de Jules Nkounkou et Abdon Fortuné Koumbha. « Au départ j'avais une fausse idée du théâtre, je l'assimile au sketch ou théâtre populaire et quand je décide d'en faire ma carrière, je me rends compte que cela nécessitait une formation vue que ça m'a pris pratiquement trois ans ou quatre ans pour me définir en tant que comédien », lance-t-il d'emblée.
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