Le 9 mai, le chef d'état-major des armées, Abakar Abdelkerim Daoud, était accueilli triomphalement à Ndjamena après des semaines d'affrontement avec les rebelles du Front pour l'alternance et la concorde au Tchad près de Nokou. Les rebelles faits prisonniers ont été présentés à la presse. Deux mois plus tard, la société civile tchadienne s'inquiète du sort de six responsables du Fact dont elle est sans nouvelle et des conditions de détention de ces prisonniers de guerre.
Échanger avec les prisonniers de guerre, c'était l'objectif de la visite à la prison de Klessoum de la Casidho. Selon cette organisation de la société civile proche du pouvoir, 505 rebelles du Fact y sont détenus dans des conditions qu'elle estime correctes.
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