La violence des gangs, généralisée et en forte hausse, a forcé des milliers d'Haïtien·ne·s à fuir leur domicile pour tenter de se mettre à l'abri. © Edris Fortuné
PORT-AU-PRINCE, Haïti - Avant même l'assassinat du président Jovenel Moïse début juillet, ce pays des Caraïbes, politiquement instable, connaissait déjà une grande incertitude. L'an dernier, il a dû se débattre avec la COVID-19, avec la tempête tropicale Laura (qui a tué des dizaines de personnes, ravagé des milliers d'habitations et détruit des récoltes), ainsi qu'avec l'intensification de la violence des gangs, qui a poussé plus de 20 000 personnes à fuir leur domicile.
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