L'affaire concerne la fabrication de faux documents pour la vente d'une propriété d'envergure dans la capitale. A la base, la propriété indivise appartient à un couple dont le divorce a été prononcé par la Justice.
« Bien qu'il n'y avait aucune procuration de la part de l'homme, son ex-femme a pu céder une partie de la propriété à sa fille par le biais d'un acte de vente. Une série d'usage de fausses signatures, assortis d'une corruption active auprès des autorités publiques sont biens flagrants dans les procédures », a soutenu Me Tsohara Ravelojaona qui défend la cause du plaignant, l'homme qui a vu son bien détourné par la voie de bakchich ayant servi à couvrir les imitations de sa signature, pourtant dûment légalisées par l'autorité d'une commune rurale.
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