Le vice-président fait face à une fronde de la branche armée de sa formation politique qui lui reproche d'avoir affaibli le leadership de ce mouvement au sein du gouvernement d'union nationale.
Le vice-président sud-soudanais, Riek Machar est dans la tourmente au lendemain de l'annonce de sa destitution mardi dernier de son poste de président du SPLMA/A-IO, la formation politique qu'il dirige. Cette décision a été prise au terme de trois jours de réunion entre dirigeants de ce mouvement politique. Il est reproché à l'ancien chef rebelle d'avoir « totalement échoué » en affaiblissant le leadership du mouvement au sein du gouvernement d'union nationale formé en février 2020. Autre grief : celui d'avoir mené durant plusieurs années une « politique du diviser pour mieux régner ».
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