Le 15 septembre, une équipe de l'Union africaine est arrivée au Tchad pour aider à la mise en place du Fonds au profit des victimes des crimes d'Hissène Habré. Celles-ci ont obtenu des millions de dollars d'indemnisation par deux tribunaux différents. Habré est mort mais le droit des victimes à ces réparations demeure. Et il faut agir vite si l'on veut éviter une récompense fictive, prévient l'universitaire Christoph Sperfeldt.
Que se passe-t-il lorsque des survivants d'atrocités se voient accorder une importante somme en réparations, mais que le tribunal qui les a ordonnées a fermé et que la personne chargée de payer les réparations est décédée ?
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